À Nantes, 17% de la population, soit environ 46.000 personnes, vivent en dessous du seuil de pauvreté : c’est le résultat du Nantoscope, une enquête menée par le Centre Communal et d’Action Solidaire de la ville.
Dans un contexte de crise sanitaire qui perdure, qui creuse les inégalités pré-existantes mais plonge aussi de nouvelles personnes dans la précarité, Nantes a donc décidé de lancer une grande concertation citoyenne de 4 mois autour de la solidarité et de la lutte contre la précarité et l’isolement social. Bassem Asseh, premier adjoint à la mairie de Nantes, sur l’origine de ces Assises des nouvelles solidarités qui s’ouvrent en cette fin de mois de Janvier.
Un reportage de Morgane Anneix