
C’est un expert du cinéma basque que nous avons le plaisir de recevoir dans The Evening Show à l’occasion de la 31e édition du festival de cinéma espagnol de Nantes. Il est directeur de la cinémathèque basque et l’auteur de l’ouvrage “cinéma basque : trois générations de cinéastes". Joxean Fernández répond aux questions d'Eva Kandoul.
Joxean Fernández en plusieurs citations :
Nantes est la ville où on a vu le plus grand nombre de films basques, en dehors du Pays basque. Les cinéastes basques se sentent comme chez eux à Nantes. “Les réalisateurs basques viennent à Nantes et se disent "c’est chez nous”
Il y a de plus en plus de femmes réalisatrices dans le cinéma basque, ce qui n’était pas évident pendant les années 80-90.
Le cinéma doit rester un art qui appartient à la salle obscure où on regarde un film tous ensemble. Assis à coté d’un inconnu avec qui on va rire ensemble, peut-être même pleurer. C’est la magie du cinéma. C’est l’art qui est né en 1875 et ça ne doit pas changer.