Je suis dans la galerie des Machines sur L'île de Nantes. Et il y a de la romance dans l’air. Avec la réouverture des machines, un nouveau couple d’oiseaux est présenté au visiteurs.
Ils sont d’une espèce fantastique mais inspiré par les paradisiers de la nature; le mâle avec sa gorge bleu azure exposée contre des plumes d’un noire intense, la femelle d’une couleur brun cuivré.
Et le public est invité à les aider à réaliser leur parade amoureuse.
Oui mais voilà, l’amour n’est jamais simple. Aujourd’hui, pas de chance pour le paradisier. La femelle rejette ses avances. Mais pas de quoi gâcher la parade pour les spectateurs!
Alors que Nantes redécouvre ses machines, au même moment en Ecosse le festival de marionnettes et d’animation “Manipulate” a proposé à Edinburgh 75 événements, spectacles et ateliers, organisé par Puppet Animation Scotland. Là aussi le public a pu découvrir les techniques du mouvement et de l’art des marionnettes.
J’ai demandé à Pierre Orefice, directeur des Machines de Nantes, quelle était le point visé de ce type d’art public et participatif:
On fait tout ça pour faire rêver les gens. Pour mettre un peu de folie dans la vie. Et pour que les gens se parlent de nos images et puis se créent un monde à eux.
Les machines seront les vôtres a découvrir chaque jour pendant les vacances scolaires de 14 à 18 heures.