La ville de Nantes porte en elle des traces des exactions commises pendant la Seconde Guerre mondiale, comme l'exécution des 50 otages le 22 octobre 1941, qui donne le nom à un cours en centre ville.
Pourtant, l'histoire de la déportation en Loire-Atlantique, que l'on appelait avant Loire-Inférieure, est peu connu ou elle fait l'objet de relectures régulières.
Séverine Pirovano, présidente départementale de l’Association des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (AFMD), raconte le Mémoriel virtuel des déporté.es de Loire-Inférieure, un projet visant à préserver une importante mémoire collective.
Les 25 et 26 janvier, à l'occasion de l'événement 1945-2025, Voix et visages de la déportation, Séverine Pirovano présentera deux conférences sur la déportation en Loire-Inférieure et l'importance de la mémoire du passé.
Une interview réalisée par Margherita Scialino de l'Académie euradio.
