Le 13 novembre, le Parlement Européen a adopté le projet de directive dit Omnibus, une série de simplifications de textes européens déjà existants. Parmi ces textes, celui sur le devoir de vigilance des grandes entreprises.
Dans une tribune publiée il y a quelques jours dans le Nouvel Obs, plus de 250 entreprises, syndicats, organisations et personnalités de plus de 30 pays ont demandé aux chefs d’État de revenir en arrière. La CGT fait partie des signataires.
On en parle sur euradio avec le secrétaire confédéral du syndicat chargé de l'Europe et de l’international, Boris Plazzi.